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dimanche 8 décembre 2013

NaNoWriMo [Découverte]


National Novel Writing Month
NaNoWriMo
2013






Etats-Unis, 1999. Un groupe d'une vingtaine de personnes décide de se donner un objectif commun : écrire 50 000 mots en l'espace d'un mois.
Cette année là, durant ce mois d'été, moins de la moitié des participants parviennent à bout de ce défi... Qui sera relancé dès l'année suivante et chaque année depuis.
A présent, le NaNoWriMo se déroule en Novembre, un mois froid et humide, propice à rester chez soi pour écrire. A présent, le NaNoWriMo compte plus de 300 000 écrivains.



Mais 50 000 mots me direz-vous, ça donne combien de pages, à peu près ?
Dans mon cas, ce fut environ 120 pages, sans chapitrage.
soit 16 667 mots et plusieurs pages écrites chaque jour.



Le Nano, de son petit nom, c'est donc avant tout un challenge dans lequel on se lance. Parce qu'on a tous une vie à côté, et sûrement du travail qui nous ne laisse pas forcément beaucoup de temps libre. Et passer au moins 1h chaque jour devant son ordinateur ou sa feuille pour écrire, ça demande un minimum de temps, de volonté, mais aussi d'organisation.





Donc le but, c'est d'écrire le plus possible, c'est ça ? On y gagne quoi ?

Oui et non. Le but du Nano, c'est juste de nous pousser à écrire. Et tant pis si on n'atteind pas les 50 000 en fin de mois, on aura tout de même avancé. C'est à chacun de poser son propre objectif, en fonction de ce qu'il recherche et du temps dont il dispose.
Quand on fini son Nano, on ne gagne rien, hormis d'avoir avancé dans son projet, et d'avoir la grande satisfaction de voir ces pages écrites de nos mains défiler sous nos yeux. D'avoir tenu la longueur et d'avoir réussi le pari qu'on s'est lancé.
Au final l'objectif, c'est plus d'avancer que de finir sur un nombre donné de mot. Chaque année, de nombreux participants n'atteignent pas les 50 000 et sont pourtant heureux d'avoir avancé, comme d'autres les dépassent et continuent leur histoire.



Mais en fait le Nano, c'est écrire tout seul dans son coin pour atteindre un objectif ? Pourquoi le faire particulièrement en Novembre alors ?

Non mon bon ami, le Nano c'est plus que ça. Le Nano, c'est une communauté. C'est des messages d'auteurs pour nous encourager et nous donner leurs impressions sur leurs propres avancées, c'est le partage, c'est la discussion.
Que ce soit sur le forum, sur le chat, sur le facebook ou tout autre, ce sont les participants qui font vivre le Nano, eux qui lui donnent vraiment un sens.
Une motivation commune qui pousse tout le monde de l'avant, de l'entraide, une passion partagée et des débats sur l'écriture. Des rencontres, aussi, dans une ambiance vraiment particulière.
Des Word Wars, dont le but est d'écrire le plus de mots possibles dans un certain laps de temps, sont organisées, ainsi que des Write-in. Ces rencontres se font dans des bars, des cafés, chez soi, n'importe où en fait, dans le but d'écrire ensemble.
Tout un petit univers auquel l'on peut se mêler selon l'envie, mais d'une force exceptionnelle.



Donc Le Nano, c'est cool ?



A vrai dire, j'avais presque autant hâte que le mois se finisse que j'espérais qu'il ne prenne jamais fin.

Parce que suivre le rythme en travaillant, en faisant des études, ça peut vouloir dire y passer des heures le samedi soir, finir de travailler à 23h et prendre encore une heure de son temps pour écrire au lieu d'aller dormir. Etre Nanoteur, c'est fatiguant, ça prend du temps. Parfois, souvent même, on se pose des questions, parce qu'on avance vite dans l'histoire et qu'on a pas forcément le temps de tout prévoir...

Et puis le plus dur sûrement, c'est de voir le retard de la veille où on a succombé au sommeil, et se dire qu'on doit le rattraper. Le reporter au lendemain parce qu'on a pas le temps, et plus le temps s'écoule, et plus on sait qu'on devra y passer des heures pour remonter la barre.
Mais avec un peu de volonté, de temps, et un certain nombre de Word Wars , tout est possible. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai passé des musiques d'une certaines durée, et me disant "tant que la musique n'est pas finie, tu ne touche à rien d'autre que ton clavier. Rien d'autre."

Un Calendrier NaNoWriMo 2013
Sous chaque jour est indiqué le nombre de mots à atteindre
pour rester régulier, ainsi qu'une citation qui se veut motivante...
Maintenant, au boulot ;]



Et quand on a fini, il se passe quoi ?

En décembre, quelques Wrimos continuent sur leur lancée pour un mois consacré à la correction de leur texte, suivi d'un mois consacré à l'édition. D'autres continuent leurs projets à leurs rythmes, et d'autres encore attendent le prochain NaNoWriMo, 11 mois plus tard.
Tous ne visent pas la publication, et nombreux sont les auteurs de fanarts, ou bien ceux dont l'écriture est une passion qu'ils ne poussent pas jusqu'aux précisions de l'édition.





Et l'intérêt dans tout ça, il est où ?

Je dirais que le Nano, c'est plusieurs mots clefs : Avancer. Passion. Partage.

De mon côté, j'en ai retiré énormément, et je ne remercierais jamais assez la bonne âme qui m'a lancé un "Hé, tu participe au Nano cette année ?" moins d'un mois avant de départ de la course.
Ne pouvant continuer mon plus gros projet en cours (bien trop complexe pour être écrit à ce rythme), j'ai eu une petite vingtaine de jours pour construire la trame d'une nouvelle histoire.
Un mois d'octobre chargé, où j'ai dû passer des heures à voir des visages défiler dans mon esprit, un vrai casting pour savoir qui resterait et prendrait vie sous ma plume (ou plutôt devrais-je dire mon clavier).

Le 1 Novembre, tout était fin prêt... ou presque. J'avais les premiers chapitres, en gros, et je pensais avoir le temps de voir la suite arriver. Sauf qu'en fait non. J'écrivais plus vite que je ne pouvais prévoir les événements, et il était courant que je me demande en rentrant chez moi "bon, cette fois il lui arrive quoi ?". Deux minutes plus tard, j'avais commencé à le coucher sur papier.
En ce qui concerne l'écriture, ça a donc été un moment d'apprentissage, où j'ai découvert sous la contrainte ce que je devais changer, mais aussi ce dont j'étais capable.
Passionnée d'écriture comme je le suis, me plonger un mois durant dans cet univers, où il ne se passait pas 24h sans que je n'écrive un mot, était passionnant, exaltant, même.


De plus, j'ai eu la grande satisfaction de voir mon héros naître et évoluer en moins deux mois à peine ; de le voir hanté de la même rage et spontanéité que celles qui m'habitaient. Mon récit étant celui d'un ado qui raconte son expérience de la vie, à la première personne, ce sentiment de nécessité d'écriture, de besoin de parler à donné un ton un peu plus naturel au texte.

Et si ce n'est pas toujours bien écrit ? Tant pis. C'est naturel, c'est tout ce qui compte à mes yeux. Oui, je le relirais, et sans doute je le corrigerais, mais je n'ai pas forcément vocation de pousser plus loin avec ce tapuscrit. J'avais besoin de l'écrire, de le finir, c'est fait.


Il est maintenant temps pour moi de continuer le projet que j'avais laissé de côté. Ou bien d'en commencer un nouveau qui normalement, sera achevé d'ici l'été prochain. Parce que oui, c'est beau la motivation ;D




Est-ce que je recommencerais le Nano l'an prochain ?

Oui, oui, cent fois oui. Peut-être qu'à ce moment là, j'aurais moins de temps, ou je bosserais sur quelque chose que je ne veux pas décrocher et bien faire. Dans ce cas l'objectif des 50 000 mots ne sera pas pour moi, je travaillerais à mon rythme. Mais je me joindrais à nouveau à la communauté, parce que c'est l'une des expériences les plus enrichissantes que j'ai connu, et qu'en éternelle optimiste, je pense que cela restera le cas un an plus tard.
Donc oui, j'en serais l'année prochaine.






Je tiens à remercier toute la communauté NaNoWriMo francophone, qui donne vie à cette expérience. Continuez comme ça, vous êtes géniaux !
Je remercie aussi des gens qui se reconnaîtrons peut-être, ou pas,  pour la motivation, les délires, les découvertes, les rencontres, les enseignements qu'ils m'ont apporté au cours de ce mois. Au plaisir de vous revoir !



Tout ce que j'ai à dire, écrivain en herbe... que tu sois jeune ou vieux.
Rejoins le côté Nano de la force !




Vous voulez tenter l'expérience ?
Le site officiel est par ici
Vous cherchez plus d'infos ?
Le blog français par ici



Que vous ayez été participant ou que vous comptiez l'être, n'hésitez pas à me le préciser, voire donner votre pseudo Nano, pour pouvoir discuter ou suivre nos avancées respectives lors d'une prochaine session.
De même, si vous avez la moindre question, j'y répondrais avec plaisir !


mercredi 4 décembre 2013

Mini-Swap What Else ?


Bonjour à toutes et à tous !



Après quelques teasers et beaucoup de préparation, on y est... Le Mini-Swap What Else ? est fin prêt, organisé en duo avec Le Monde de Sapotille !

Je vous propose donc sa description du swap ! (oui, à laquelle j'ai participé, je l'avoue)

~ C'est en se morfondant en cours, qu'on a créé ce swap en fantasmant sur un meilleur endroit où se trouver avec un feu de cheminée, un bon livre, des cochonneries, de la musique et accessoirement un beau mâle mais ça aurait du mal à rentrer dans un colis ! Nous avons donc simplifié tout ça, de manière à obtenir le mini swap "What else ?" ~








Le contenu du colis est expliqué chez Sapotille, juste Ici



De mon côté, je vous présente le questionnaire à remplir et à envoyer au plus tard le 15 Février à l'une de ces adresses :
 larbredenoa@gmail.com   ou   lemondedesapotille@gmail.com




  • Pseudo : 
  • Blog, si vous en avez un :
  • Nom et Prénom : 
  • Adresse : 
  • Age : 
  • Possibilité d'un envoi à l'étranger et/ou pays limitrophes :
  • Préférences musicales (genre, groupe, morceau...) :
  • Allergies alimentaires ou aliments que vous détestez :
  • Genre(s) littéraire(s) qui vous diverti(ssent) :
  • Avec qui avez-vous déjà swapé* :
  • Un endroit où voir votre wishlist ou une liste de 15 livres dans le thème :
  • Vos hobbies :
*Je rappelle que les binômes seront formés par Sapotille et moi-même, dans le but d'essayer de créer de nouvelles rencontres ;]




N'oubliez pas d'aller faire un tour aussi sur la page Facebook du Monde de Sapotille

Voilà voilà, en espérant que ce swap vous plaise, et vous revoir très bientôt !



dimanche 1 décembre 2013

L'Auto-Edition | Interview J. Heska

L'Auto-Edition


Interview
J.Heska (Auteur)







Si je demandais à quelqu'un au hasard "Qu'est-ce que l'édition", il me répondrait sans doute que c'est la façon, pour un auteur, de vendre ses livres.
Pourtant tout cela n'est pas si simple, et il existe plusieurs types d'éditions, avec chacun ses défauts et ses avantages :

- L'Edition à compte d'éditeur : Ce type d'édition permet à une structure indépendante de prendre en charge un manuscrit, et de le commercialiser en ne demandant à l'auteur aucune autre contribution que son travail. L'éditeur gère totalement la publication du livre dont il possède les droits pour un certain laps de temps, et rémunère l'écrivain.

- L'Edition à compte d'auteur : Ce type d'édition permet à une structure indépendante de prendre en charge un manuscrit et de le commercialiser, mais l'impression et la diffusion sont aux frais de l'auteur lui-même, qui en contre-partie garde des droits sur son ouvrage. Cette méthode peut s'avérer être extrêmement coûteuse. 

- L'Auto-Edition : Ce type d'édition permet à un auteur de s'éditer directement, sans passer par une structure externe. Il devient ainsi son propre éditeur, se chargeant lui-même de la distribution de son ouvrage.



Aujourd'hui, c'est sur l'Auto-Edition que nous allons nous pencher, aux côtés de l'auteur J.Heska.




L'interview






Bonjour J.Heska !
Vous êtes à ce jour l'auteur de trois livres : Pourquoi les gentils ne se feront plus avoir,  On ne peut pas lutter contre le système et Un monde idéal où c'est la fin. Publié une première fois à compte d'éditeur, vous êtes devenu par la suite un auteur auto-édité.






- Tout d'abord : quelle différence entre l'auto-édition et l'édition "traditionnelle" à compte d'éditeur, et qu'est-ce cela change pour l'auteur ?


Bonjour, et merci de m’accueillir chez vous ! Juste une petite suggestion pour la prochaine fois : on ne pourrait pas faire l’interview ailleurs qu’au sommet de cet immense arbre ? Je ne suis pas trop à l’aise et je ne suis pas sûr de la solidité de la branche sur laquelle je suis assis… 

Sinon, pour répondre à votre question la grande différence entre auto-édition et édition traditionnelle est la responsabilité. L’édition traditionnelle, c’est l’éditeur qui gère la fabrication, l’exploitation et le risque financier lié au roman. L’auto-édition, c’est l’auteur qui porte tout, et qui peut donc y laisser des plumes, même si les nouveaux moyens de diffusion (impression à la demande, e-book) permettent de nuancer ce constat. 



- Comment fonctionne la diffusion des romans, en numérique, en papier ?


En auto-édition, il faut être imaginatif et se baser sur les niches que les éditeurs traditionnels n’ont pas encore phagocytées. 

Le web est pour cela le meilleur moyen de diffuser ses romans, via l’édition numérique (e-book Amazon, Apple ou Kobo fnac) et l’édition papier (impression à la demande, type Lulu thebookedition, Createspace d’Amazon). C’est également le meilleur lieu pour se faire connaitre et assurer une promotion efficace. 
À mon sens, un auteur auto-édité ne doit pas se concentrer dans un premier temps sur une diffusion physique en librairie, même si cela est plaisant pour l’égo. Trop coûteux, complexe, et chronophage.


- Vous avez changé de statut suite à une mauvaise expérience... une question de chance ou vous pensez que c'est le milieu de l'édition en lui-même le problème ?


Un peu des deux ! Je pense que je suis tombé sur un éditeur peu sérieux, mais que l’édition traditionnelle a également du mal à proposer un modèle dans lequel je puisse me retrouver : le support numérique est complètement négligé (ou peu valorisé avec une politique tarifaire démentielle), les coûts d’un roman papier sont exorbitants (marge des distributeurs et des libraires), l’auteur est peu écouté (ligné éditoriale, choix de la couverture, traduction, etc.).



- Donc pour vous, s'auto-éditer est un choix, contrairement à ce qu'en pensent beaucoup de personnes ? Pouvez-vous nous l'expliquer ?


Un choix qui s’explique par ma volonté d’indépendance. Je veux tout maîtriser de A à Z, je veux choisir ma couverture, je veux décider de mettre le ebook à un prix attractif (2,99 euros), je veux écrire ce que je veux quand je le veux, passer de la SF au thriller, je veux faire des romans différents, qui ne rentrent pas dans des cases définies. L’écriture et l’édition sont pour moi être des moyens d’être libre, de m’amuser comme je l’entends.



- S'auto-éditer, c'est aussi tout gérer seul, de l'écriture à la distribution... N'est-ce pas un travail long et difficile ? Comment cela se passe-t-il ?


Un travail épuisant ! C’est pour cette raison que je ne le conseille pas à tous. Il faut une volonté de fer, de bonnes connaissances techniques (la couverture sur photoshop, la mise en page sur Indesign, la diffusion sur Createspace) et un perfectionnisme à toute épreuve (lecture, correction, diffusion, etc.). Mais c’est également une activité dynamique et pleine de bonnes idées. Internet regorge pour cela de tutoriel et de bons plans. 



- Actuellement en France, l'auto-édition fait face à de nombreux préjugés. A votre avis, comment ce milieu va-t-il évoluer ?


Les préjugés ne disparaîtront jamais, car l’auto-édition restera toujours un fourre-tout où on trouvera toujours le meilleur comme le pire. Mais on peut faire un comparatif avec ce qui se passe aux États-Unis à l’heure actuelle avec des succès de l’auto-édition comme Fifty Shades of Grey : on assistera à une professionnalisation du milieu, l’émergence de structures, de marques et d’auteurs qui deviendront des références.   



- Votre structure éditoriale, les Editions Seconde Chance, n'est-ce pas un moyen "d'officialiser", de donner du crédit à ce type d'édition ?


Ma première volonté était surtout de structurer le succès de plus en plus important de mes romans, et pas forcément pour les meilleurs raisons (fiscales, notamment). 

Et puis effectivement il y a la volonté d’officialiser tout cela. La petite équipe s’est étoffée, j’ai été rejoint par des personnes merveilleuses qui m’aident au quotidien (notamment Isabelle, la chargée de communication avec qui vous avez échangé par mail ;-) ). 
Quant à donner du crédit, je n’en suis pas sûr, car la micro-édition à au moins aussi mauvaise réputation que l’auto-édition ! 



- Je viens de terminer mon tapuscrit et je n'ai jamais rien publié. Je me tourne plutôt vers le compte d'éditeur ou vers l'auto-édition ?

Vers l’édition traditionnelle, sans hésiter ! Mais pas n’importe laquelle non plus, attention aux arnaques courantes à compte d’auteur. Un auteur sans expérience a besoin de se structurer, de reconnaissance, il doit apprendre les rouages du métier afin de jauger sa propre capacité d’indépendance. 

Si jamais cela ne marche pas ou si cette expérience est décevante, il aura tout à fait le loisir de se tourner vers l’auto-édition plus tard.


- Il est difficile quand on est un auteur en herbe de savoir ce que l'on vaut, d'avoir le courage de se lancer sans un appui professionnel... comment "s'évaluer", avoir un avis objectif, croire en soi sans se surestimer ?


Une question qui revient souvent et laquelle je réponds toujours la même chose : il faut écouter l’avis de tout le monde, mais savoir aussi prendre beaucoup de recul. Un éditeur n’aura pas forcément un avis plus pertinent que votre maman ou qu’un « top commentateur » Amazon. Il est important de rester ouvert aux critiques, de rester humble en partant du principe que tout art est perfectible, mais de savoir aussi dans quelle direction on marche.     



- Deux petites questions pour clore tout cela : écrire, être publié, ce n'est pas facile tout les jours... alors pourquoi écrivez-vous ?


Parce qu’il faut bien que j’expulse tout ce que j’ai dans la tête, d’une manière ou d’une autre ! 



- Pour finir, un projet en route ?


Un quatrième roman toujours en gestation, qui a pris un peu de retard pour tout un tas de raisons. Mais promis, il va sortir un jour ! 



Merci beaucoup d'avoir accepté de répondre à ces questions, et ainsi de nous permettre d'y voir plus clair dans ce monde qu'est l'auto-édition !



Merci à vous ! Je peux descendre, à présent ? ;-) 






Pour en savoir plus


* Le site officiel de l'auteur, qui, en fouillant un peu, répondra à un bon nombre de vos questions !

*Retrouvez ma chronique de Un monde idéal où c'est la fin.




Bonne Découverte !